Michèle Didier
Secteur Général
Stand B11
94, boulevard Richard Lenoir
75011 Paris
France
Présentation de la galerie
michèle didier, fondée en 1987 à Bruxelles, produit et publie des oeuvres originales d'artistes contemporains.
En 2011, michèle didier ouvre une galerie à Paris. Cette dernière représente des artistes de différentes générations liés aux éditions de la maison d'édition et développe aussi des projets spécifiques donnant lieu à des invitations. Depuis sa création, la galerie privilégie des collaborations avec des artistes inscrits dans une veine conceptuelle, notamment des artistes internationaux aujourd'hui considérés historiques. La galerie à Paris accompagne aussi dans leur développement des artistes issus de la scène française.
Présentation de l'artiste en focus
JOSH SMITH
Ensemble de 50 dessins.
Signé et daté 2005 par l’artiste au verso de la feuille.
Format : 20,3 x 12,3 cm.
Dessin au crayon graphite sur papier.
Ces 50 dessins appartiennent à la série intitulée "Faces", réalisée en 2005 et qui contient en tout 672 dessins.
Josh Smith disait à propos de cette série " Ces dessins rapides ont été réalisés en 2005. J'aime dessiner rapidement, sans réfléchir ni regarder, puis regarder le résultat lorsque le dessin est fini. Les dessins sont si simples qu'il n'y a aucune raison de corriger les défauts qui apparaissent. Les dessiner a été cathartique et je continue à dessiner des visages tout le temps. Pas d'une manière délibérée, mais différemment. Je recommanderais le dessin à tout le monde. Il est impossible de se tromper, donc il n'y a pas de stress ". L'oeuvre de Josh Smith se distingue par sa maîtrise parfaite de plusieurs techniques comme le dessin, la peinture, le collage, ou la gravure et la céramique. Ses oeuvres les plus emblématiques sont des travaux
qui ont pour sujet unique, son propre nom. Ces dernières années, le nom a cédé la place à des motifs tels que des feuilles, des poissons, des squelettes, des insectes ou des couchers de soleil. En choisissant ces sujets, somme toute assez ordinaires et en les représentant d'une manière tour à tour violente, ludique ou sarcastique, Josh Smith nous oblige à aller au-delà de l'esthétique et à nous concentrer sur cette répétition du sujet, du motif, qui traité ainsi, l’épuise et le mène à sa perte.